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Dans les années 30, dans un petit village de Nouvelle-Ecosse, Canada, vit Maud Dowley, handicapée par une polyarthrite rhumatoïde. Employée comme femme de ménage au domicile d'Everett, un marchand de poissons solitaire, frustre et violent, Maud va fuir la difficulté de son quotidien et le rejet dont elle fait l'objet en peignant l'intérieur de la maison sur toutes sortes de surfaces comme des petites cartes postales.
Ces images d'art populaire qui décrivent une vision du monde joyeuse attirent l'attention de Sandra, une riche personnalité de New-York, qui lui passe commande. Maud va ainsi accéder à l'indépendance, et commencer une nouvelle vie, y compris dans sa relation avec Everett...

Quelle émouvante rencontre, à travers ce film délicat, avec Maud Lewis, qui devint peintre de la Nouvelle Ecosse, d’abord pour mettre de la couleur et de la poésie dans son quotidien.

Ce film est comme un écrin, pour magnifier une femme et son œuvre, que peu de documents papier relatent.

Quand s’inscrit le mot « Fin », on se sent chanceux et heureux d’avoir fait la connaissance de Maudie …

                                                                                                                                                       Géraldine et Laurence de la Médiathèque de Bourg-Achard